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Le problème des obstacles dans le génie civil

Les travaux de génie civil sont parsemés d’embûches

Les travaux de génie civil sont parsemés d’embûches. Qu’il s’agisse de construire des routes, des ponts ou des bâtiments, la présence imprévue d’obstacles enfouis ou aériens vient régulièrement contrecarrer les plans des ingénieurs les plus aguerris.

Anticiper ces défis inhérents au métier relève d’une nécessité vitale. Comment donc espérer édifier des ouvrages d’art ou des réseaux de transport dignes de ce nom sans prévoir la survenue de ces tracasseries ?

Des entraves souterraines aux conséquences fâcheuses

Que ce soit pour passer des ouvrages d'art ou des bâtiments, les ingénieurs sont dans l'anticipation et cherche des solutions pour simplifier la tâche et faire des économies de temps et d'argent tout en respectant les sols et les réseaux. Le forage horizontal par exemple peut lever les contraintes. Les techniciens découvrent parfois d’anciennes fondations, des canalisations rouillées ou des nappes phréatiques insoupçonnées. Ces vestiges enfouis entravent la pose et le contournement de structure civile, ce qui complique la tâche des ouvriers et retarde l’avancée du chantier.

Pire encore, ils peuvent fragiliser les nouvelles structures porteuses, entraînant des affaissements de terrain ou des effondrements partiels. Cela pourrait nuire gravement à la solidité de l’édifice et hypothéquer sa durabilité. C’est donc de là que naît l’importance capitale de mener des études géotechniques approfondies en amont, à l’aide de radars et de sondages.

Des habitants procéduriers : une menace juridique permanente

Autre écueil guettant les ambitieux chantiers de génie civil : l’opposition virulente des résidents alentour. Les résidents, confrontés aux nuisances sonores des engins de chantier ou à la transformation de leur quartier par ces travaux d’envergure, adoptent souvent une position critique et peuvent même entraver le déroulement du projet.

D’ailleurs, rien qu’à Paris par exemple, on ne compte plus les plaintes auprès des autorités compétentes, les pétitions virulentes et les recours en justice qui pleuvent sur les maîtres d’œuvre. Cela paralyse temporairement le bon déroulement des travaux.

En gros, c’est une épée de Damoclès permanente suspendue au-dessus de la tête des ingénieurs, contraints de se trouver des talents de diplomates pour apaiser les plus véhéments protestataires.

Des impératifs environnementaux contraignants

Satisfaire aux exigences environnementales de plus en plus draconiennes est un autre défi de taille pour les chantiers de génie civil de notre époque. Les projets doivent désormais jongler avec une multitude de paramètres écologiques comme :
  • la préservation de la biodiversité ;
  • la limitation des émissions de CO2 ;
  • et même les objectifs spécifiques de l’Union européenne en matière d’environnement.
Il va donc sans dire que les obstacles sont légion et guettent le moindre faux pas, qui pourrait valoir aux responsables des amendes salées et des arrêts de chantiers cuisants. Mais face à ces défis, que faut-il faire exactement ?

L’importance de trouver des solutions efficaces pour éviter les obstacles et minimiser les perturbations

L’ampleur des défis évoqués plus haut montre combien il est crucial pour les ingénieurs du génie civil de faire appel à des entreprises comme le groupegendry.com afin d’anticiper les obstacles et de minimiser leur impact sur le bon déroulement des travaux. Des solutions efficaces existent, qu’il convient d’explorer avant que ne s’accumulent les retards et les surcoûts.

Améliorer les études préalables pour détecter les obstacles en amont

Une préparation minutieuse s’impose avant toute intervention lourde sur le terrain. Il s’agit notamment d’investigations qui limiteront les mauvaises surprises. Même si elles seront coûteuses, elles doivent être considérées comme un investissement qui pourrait engendrer de forts bénéfices sur le long terme !

Par ailleurs, une cartographie précise des réseaux existants est indispensable pour éviter de les endommager involontairement. Renseigner les techniciens sur ces infrastructures cruciales leur permettra d’opérer en connaissance de cause.

Négocier en amont avec les riverains et associations

Plutôt que de subir la vindicte des opposants au projet, pourquoi ne pas les intégrer en amont au processus décisionnel ? Des discussions franches et transparentes sur les tenants et aboutissants du chantier désamorceraient bien des conflits, tout comme la mise en place de comités consultatifs de quartier et d’instances de médiation.

De même, quand l’empreinte écologique d’un projet inquiète, associer les défenseurs de l’environnement et leur expertise du biotope local pourrait aider. Il serait en effet préférable d’anticiper leurs requêtes que de les voir imposer de force par la justice.

Recourir aux nouvelles technologies pour sécuriser les sites

Les chantiers de génie civil gagneraient à s’équiper des dernières caméras thermiques et de détection de mouvements. Couplées à de solides palissades, elles décourageraient les intrusions ou permettraient d’intervenir rapidement. Quant aux puces RFID et au GPS, ils faciliteraient le suivi du matériel et le repérage des équipements égarés ou dérobés.

Par ailleurs, les drones de surveillance offriraient une vision aérienne précieuse des vastes chantiers, difficiles à appréhender au sol. Cela permettra de quadriller efficacement de larges périmètres et repérer tout individu suspect en un clin d’œil.

Former les équipes aux aléas du chantier

Les compétences techniques des ouvriers doivent être enrichies. Par ailleurs, sensibiliser l’encadrement à la psychologie des foules et à la gestion de conflit sera profitable. Nul doute que des managers mieux outillés sauraient mieux désamorcer les vives tensions avec des habitants excédés par les désagréments.

Explorer des matériaux et des techniques de construction innovants

Face à la recrudescence des aléas climatiques, comme le fait l'association française du génie civil, il faut repenser les modes de construction traditionnels. L’usage de matériaux composites résistants et de nouveaux liants hydrauliques pourrait permettre d’accélérer la cadence. De même, le recours à l’impression 3D faciliterait l’édification de structures complexes rapidement et avec précision. Il s’agit là d’une réelle occasion à saisir pour moderniser des méthodes parfois ancrées dans le passé, au bénéfice de tous.

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